
blog – plus de sens
L’odyssée continue à travers le blog Plus de Sens, une exploration où la vision symbolique du monde éclaire notre regard et approfondit notre compréhension de l’existence.

Le Poids
Le poids de soi même …
Il est là, invisible mais omniprésent,
le poids du personnage qui se prend pour quelqu’un d’important, suffisamment important pour écraser de son empreinte lourde les champs de fleurs, couvrir de sa voix stridente le chant des étoiles ……
Le poids de soi même , s’accroche à nos épaules,
s’enroule autour de notre tête,
pèse sur notre cœur,
sur nos hanches,
sur nos genoux fatigués.
Poids de l’agir,
déformé par le mal-être,
par l’angoisse sourde,
par l’ignorance obstinée,
par ce refus têtu d’écouter,
de voir,
d’accueillir.
Que ferons-nous de ce fardeau,
lourd, si lourd…

Primitif, Aborigène…
Primitif, Aborigène…
Cela me viens à l’esprit aujourd’hui, dans ce climat de tension entre le soleil et la lune noire en Scorpion
(« Qui est à son origine ou proche de son origine » « lié à son Origine – définition primitif)
Peuple Primitif , les derniers gardiens du secret :
celui de la communion sacrée avec la vie elle-même.
Une fidélité sans nom, transcendantale, les relie à l’univers, au cosmos, aux cycles immuables… et au sens premier de l’incarnation.
Cela me viens à l’esprit aujourd’hui, dans ce climat de tension entre le soleil et la lune noire en Scorpion
Peuple Primitif , les derniers gardiens du secret :
celui de la communion sacrée avec la vie elle-même.
Une fidélité sans nom, transcendantale, les relie à l’univers, au cosmos, aux cycles immuables… et au sens premier de l’incarnation.

Cycle neuf
Observer, écouter simplement, entrer dans la sensation Proposée par la Nouvelle Lune dans la croix fixe…
Rien à faire que de sentir en soi les résonances, les réticences …
L’appétence pour le monde consumériste S’épuise … , le « toujours plus » de confort matérielle n’est plus une motivation suffisante, sentez le …
Il y a des directions qui pèsent sur l’âme, sentez le …
le temps présent nous stop de la course folle et s’incline devant l’élan du commencement d’une expression neuve …

L’arrogance divine…
L’arrogance divine…
Deux mots qui, à première vue, s’ opposent sans contradiction.
Et pourtant, il est une posture de cœur
qui revêt l’éclat tranquille d’une arrogance essentielle.
Non pas drapée d’orgueil, mais comme une évidence.
Celle d’un regard qui embrasse tout .
dans l’acceptation radicale du non-choix…

Ecrire…
Écrire…
Étrange rituel, presque sacré.
Cela me saisit au matin,
Quand l’esprit flotte encore entre deux mondes.
Ni pris par les exigences du jour,
Ni noyé dans le vacarme pixelisé du réel.
La nuit n’a pas tout à fait quitté les lieux.
Le corps est là, tranquille.
Et moi, je pénètre ce territoire suspendu
Comme on entre dans un ascenseur silencieux.
J’appuie sur le bouton du septième étage,
Et je me prépare à une rencontre :
Celle avec l’envers du monde,
Ce lieu secret où les choses parlent autrement.
Alors, j’écoute.
Et j’écris ce que le silence me souffle…

ça se passe.
Ça, se passe…
Oui,
ça se passe.
Célébration Pascale…
Il n’est plus nécessaire de rappeler
ce que, dans le silence de nos cellules,
nous savons déjà.
La mort, la renaissance ; la Vie,
le seuil, le passage,
la descente, la remontée.
Un mystère ancien qui respire encore.
L’œuvre alchimique.
Le grand retournement…

L’Axe des Nœuds Lunaires…
L’Axe des Nœuds Lunaires
Que se passe-t-il sur ce pont invisible tendu entre deux rivages de l’âme,
entre notre zone de confort, celle où nos gestes sont sûrs, notre parole fluide, notre identité bien rodée, et cet ailleurs mystérieux, cet opposé vibrant, inconnu, qui nous appelle sans mot dire ?

Le Grand Ballet CosmiqueOu la Divine Comédie…
Ou encore « Vivre en transit comme une escale obligatoire sur cette drôle de planète bleue… »
Les transits planétaires, les progressions,
ne se contentent pas de faire tourner les aiguilles du ciel ,
ils réactualisent, énergisent, tout en éclatant les mémoires de l’âme.
Se mouvement révéle et dissimule en même temps.
Il élève , panse , égarent.

Je suis une femme…
Je suis une femme.
Présence poreuse.
Je reçois.
Je bois le monde, le recrache parfois, sans le mordre, ou juste ce qu’il faut …
Je me laisse traverser.
J’écoute… au-delà des mots.
J’entends… au-delà du bruit.
J’entends tout.
Même les silences lourds, les soupirs tus, les échos oubliés les monstres contenus …
Je vois tout.
Avec les yeux nus, les yeux fermés, ouvert , les yeux de l’âme.
Je comprends sans savoir. Je saisis sans prendre.
Je raisonne …
Résonne …

Brut de tendresse…
Brut de tendresse…
Parfois, face aux tensions relationnelles, au tiraillement entre le besoin d’harmonie et le désir de tout envoyer valser, ou encore poussés par le désir égoïste d’élargir notre territoire en piétinant celui de l’autre , une seule chose s’impose : un retour à soi, l’observation franche , tendrement brutal…

Amour, gloire et beauté.
Haaa l’amour, toujours l’amour.
L’amour, l’amour, l’amour de son prochain ? Non pas tout fait
l’amour comme état d’être,
comme demeure silencieuse dans la tempête mais aussi dans l’état de grâce.
Puisse qu’il ne nous quitte jamais celui là !
Même en plein ko intérieurs.
En Rester là.
Là, dans cette vibration intime,
quoi qu’il advienne,
quoi que la vie présente.
Cela semble si simple.
Et pourtant, c’est tout.
Tout est là….

Raison et Transgression ou l’Amour à Mort
Comment franchir les frontières d’un monde scindé ?
Il n’y a pas de méthode...
Cela se passe — simplement.
Une affaire de temps, d’intime maturité.
Car ici-bas règnent les jeux de miroirs,
reflets démultipliés de nos esprits
pris au piège de la roue du hamster.
Jusqu’à ce que survienne la bénédiction du sentir,
cette rencontre avec une force indomptée,
une énergie souterraine, archaïque et transgressive
qui fissure l’ordre établi,
laisse entrevoir l’invisible, fait vibrer l’interstice….

Les trois voies de réalisation
Cela fait un moment que je souhaitais poser quelques mots sur ce sujet, une lecture de thème hier a conduit mon ressenti en ce sens …
Les pièges des trois voies de réalisation
Une méditation poétique sur les détours de la quête intérieure
Il est des sentiers que foulent les âmes en quête de l’essentiel,
des voies tracées dans l’invisible,
où l’esprit cherche l’union, le cœur la paix, et l’être sa lumière.
Elles sont trois :
la voie de la compassion,
la voie de la connaissance,
la voie de la dévotion.
Mais chaque chemin, aussi pur soit-il, abrite dans son ombre un piège subtil….

L’ignorance de l’ignorance.
Que vous évoque cette étrange formule ?
Ignorer ce que l’on ignore…
Comment guérir, si la cause véritable de notre souffrance nous demeure voilée ?
Non pas la cause matérielle, ni celle que projettent nos peurs,
mais celle, plus subtile, nichée dans les replis de l’être.
Écoutez ces mots qui se répondent, qui se doublent,
comme un écho sacré :
L’intelligence de l’intelligence.
Le sens du sens.
L’amour de l’amour.
Dans ce redoublement, une vérité silencieuse s’élève :
celle du grand, très grand, infiniment doux lâcher-prise.
Car toutes les vérités que nous avons à connaître
ne surgissent que dans le silence de la paix…..

La Connexion
Une Présence affûtée par une Ecoute sensible et profonde
La connexion est ce fil d’or tissé à travers le temps, un fil invisible et pourtant plus solide que la matière. Elle est cette caresse insaisissable du présent, où chaque instant se dilate et s’épanouit dans une éternité fluide.
Elle est ce souffle qui nous enveloppe d’une douceur indicible, nous portant vers une foi qui jamais ne vacille. Elle nous rappelle d’où nous venons, ce berceau d’étoiles et de lumière, cette source première où tout se fond et renaît.
La connexion est l’écho d’une unité profonde, un murmure qui danse avec le vent, un frisson qui parcourt l’échine du monde. Elle nous ouvre les portes du mystère, où les synchronicités tissent des constellations secrètes, des chemins invisibles qui se révèlent à celui qui sait voir….

Le Beau Saturne
Maître du Temps et de l’Amour sans âge…
Saturne s’apprête à franchir un seuil, à quitter les eaux pour embraser le feu. Dans cette traversée céleste, il emporte avec lui son inaltérable sagesse, ce langage silencieux fait d’épreuves et de maîtrise.
( inversement aux planètes personnelles le signe par lequel il passe prend la coloration de saturne )
.
Dans le thème natal, Saturne est ce lieu de « frustration » où la réalité se heurte à nos illusions. Là où les limitations deviennent enseignement, où la contrainte forge une force intérieure insoupçonnée. Chaque coup porté par le monde extérieur est une invitation à sculpter en soi la patience, la rigueur, la profondeur, l’acceptation de grandir le temps d’un soupir sage …

Saturne et Neptune : Conjonction et Résonance
La rencontre entre Saturne et Neptune est une conjonction singulière, un mariage alchimique entre la structure et la dissolution, entre le temps et l’infini.
Saturne façonne, limite, donne corps à la matière. Il est le gardien du cadre, l’architecte du réel, celui qui grave dans le temps la lente maturation des formes.
Neptune dissout le dur et les frontières, élève et imbibe chaque planète qu’elle touche d’une conscience nouvelle. Son essence est fluide, son cœur océanique englobe et imprègne, portant en lui la vibration de l’amour universel.

Un lundi …Sous le ciel de Paris…
Astrologie, Astrologie, Astrologie…
Et si un détail, une infime variation du verbe, nous avait échappé ?
Quelle est donc la réelle pertinence de cet outil fascinant ?
Le thème astrologique est une empreinte céleste, une cartographie de l’âme incarnée. Il est notre structure intime, un langage silencieux gravé dans le ciel. Aucun détour, aucune fuite possible : il est ce qui nous traverse.
On aime se raconter des histoires, se rêver une mission, une quête initiatique vers l’éveil. Pourtant, depuis le premier souffle, tout est déjà là, inscrit dans l’étoffe même de notre être.
J’aime cette image du manège, ce circuit enchanté où les enfants s’amusent à tourner un volant factice, croyant maîtriser la route, s’abandonnant aux illusions des montées et des descentes. L’astrologue, lui, observe ce manège et murmure : « Attention, voici un virage… Encore un autre… » Mais que signifie tout cela, au fond ?

Neptune en Bélier…
Étrange alchimie, mariage surprenant entre la vague et la flamme, entre l’océan sans rivage et l’étincelle qui embrase. Que pourrait-il naître de cette union ?
Neptune, « principe »d’élévation maître des brumes et des dissolutions, vient se lover dans l’élan du Bélier, ce feu premier qui jaillit, ce souffle instinctif qui fend le silence de l’incréé. Et si, sous son voile impalpable, il venait dissoudre ce qui, depuis trop longtemps, nous entrave ? Si, dans sa tendresse insaisissable, il effaçait en nous l’empreinte des désirs imposés, des aspirations détournées par le poids d’un monde trop lourd ?
Il pourrait alors dissoudre l’illusion du combat, cette lutte éperdue pour des mirages matériels. Il pourrait effacer les faux rêves, ces chimères déguisées en ambitions, pour ne laisser briller qu’un désir authentique : celui de la paix. Une paix si pure qu’elle ne s’oppose à rien, une paix si vaste qu’elle accueille en son sein l’acte juste, inspiré, libre de toute peur, mû par l’élan même de la Vie…

Baume au cœur et astrologie
Nos blessures les plus profondes précèdent notre incarnation.
Elles sont inscrites en nous avant même notre premier souffle, tissées dans la trame céleste qui dessine notre destin. Si elles n’étaient qu’une conséquence de notre vécu, alors nul marqueur ne viendrait les signaler sur notre thème astrologique.
Pourtant, nous naissons avec elles, comme des empreintes silencieuses que l’univers a gravées en nous.
Alors, que devient la psychanalyse face à cette révélation ? Et quelle place occupe l’astrologue à côté du psychologue ou du psychothérapeute ? La psychanalyse explore nos blessures à la lumière de nos traumatismes d’enfance, cherchant dans les ombres du passé l’origine de nos souffrances. Elle remonte le fil du temps pour comprendre, déconstruire, réparer…